Les Craintes Et Les Joies DÊtre Souvent Absent. (Épisode 1)
Je vais essayer dêtre précis et chronologique dans la narration des faits et avant tout de planter le décor ou du moins de vous présenter le contexte, ce qui pourra paraître peut-être un peu long.
Jai une trentaine dannée, ingénieur dans laéronautique, un corps dancien sportif, marié depuis six ans et très pris par ma carrière, qui me fait méloigner du domicile conjugal pour des périodes plus ou moins longue, en fonction de chantiers au travers du globe.
Ma tendre et douce femme Ingrid, jeune prof de math de 27a, portant de petites lunettes, aux yeux gris vert avec des cheveux mi long châtain clair, au nez en trompette, à la bouche fine et bien dessinée, à la peau claire qui prends bien le bronzage, aux hanches fines qui délimite bien son postérieur légèrement galbé de son buste orné dune poitrine généreuse et ferme, qui a pratiquée la natation avec assiduité jusquà son entrée dans la vie active, et du haut de ses 1m67 continue toujours de soccuper de son corps et avec tout le temps de libre dont elle dispose prend soin de notre chez nous et essaye tant bien que mal de supporter mes éloignements, mais comme elle dit, lAmour fais le reste, le temps passe mais lavenir sera plus serein
et je dois ajouter que la compensation financière aide tout autant.
Donc, me direz-vous tout va pour le mieux, et bien OUI, sauf qua y regarder de plus prêt et en observant mon entourage professionnel, je me remémore ce que me disait mon parrain dans le métier lorsque jai commencé, que largent ne fais pas le bonheur et que léloignement est le cancer des couples, à en voir le nombres de séparations et de divorces dû pour une grande part aux aventures extraconjugales, à en voir nos collègues et lui-même qui avait déjà un divorce et une séparation à son actif. Nous étions mariés depuis peu, Ingrid, navais pas encore fini son cursus et du haut de ses 21 ans elle vantait lexemple de couple de ses parents, qui sétaient connu au lycée, toujours fidèle et qui lavaient éduqué comme sa sur aînée dans le carcan dune morale catholique pratiquante , jétais donc hors datteinte de tout cela et ny prêtait guère attention
.
Et puis avec le temps, lidée sournoise faisant son travail de sape, avec le constat des couples de collègues de travail aussi bien de la sous-traitance que des compagnies étrangère, jen suis arrivé à me dire quil y avait peu de probabilité que notre couple soit lexception qui confirme la règle, bien que je soit resté fidèle jusquà ce jour
.. ma fidélité excluant quelques fleurts poussés avec des personnes de la gente féminine locale.
Il y a 3 ans, jen suis arrivé à la conclusion, que si Ingrid devait aller chercher matière à se changer les idées et prendre du plaisir avec un autre que moi, en un mot si je devais être cocufié autant être au courant et donc prendre les devants afin de tester sa fidélité et le cas échéant être fixé et au courant de ses escapades.
Malgré mes tout mes efforts et mes entreprises, Ingrid avait peu évoluée depuis notre mariage, échangeant quelques fois ses sous-vêtements obligatoirement blanc par certain de couleur, claire, passant du coton/dentelle au tout dentelle, avec quelques tanga et 2 strings en coton, portant des collants et en de très rare occasion des bas auto fixant et côté sexuel je la qualifiais de passive, nentreprenant que très peu, ne choisissant aucune position, me faisant des fellations du bout des lèvres, ne voulant rien entendre pour la sodomie, qui est contre nature disait-elle et ajoutais que seule les putes, les chaudes du cul et les bouffeuses de clito se rasaient intégralement le minou, à mon grand désarroi dailleurs.
Cétait une période relativement creuse dans mes déplacements, qui nexcédait pas 4 jours à cette période là, jétait très souvent à la maison, en région toulousaine, en nous avions comme projet déjà bien avancé de faire réaliser des travaux daménagement dans la maison que nous venions dacheter, grâce en partie à laide de mes beaux-parents.
Donc entre mon emploi du temps professionnel, létude et la réflexion sur les modifications à apporter à notre futur nid douillet et le temps aussi à moccuper de ma petit femme, nayant rien décelé dune probable infidélité, je métais en uvre mon plan le premier vendredi du mois de Février 2002 en déposant une annonce explicite sur un site de rencontre sur internet, annonce dont javais mûrement réfléchi la tournure et le cadre de recherche, cadre qui ressortait des réponses ou des silences de mon épouse lors de jeux et de questions indiscrètes posées insidieusement dans le cadre de nos ébats amoureux voir de bribe de conversations avec ses amies que javais glané ici et là depuis de nombreuses années et qui revenaient à la surface maintenant, et le fait de voir si quelquun dautre pourrai lamener à lui céder se quelle me refusait.
Etant dans le doute, à la fois sur lhypothèse dune infidélité probable ou passée- dIngrid et de ma démarche à lui trouver un Amant digne de se nom, jattendais tout de même le lundi en fin de matinée pour relever mes courriels depuis mon lieu de travail. Quelle fut ma surprise de voir toutes ses réponses en un week-end
une trentaine, qui malheureusement ne correspondaient que de très loin voir pas du tout à lattente que je souhaitais , et cet état de fait se reproduisait tout les jours ou presque
. Les postulants nétant pas dans les critères recherchés, trop éloignés, ne cherchant que pour une fois, voir trop impatient ou pas assez cérébral. En fin de compte sur une période de 2 mois, javais sélectionné 8 prétendants, qui après de bref échange de courriels ou de conversations téléphonique sétaient réduit à 3, du fait de simple fantasmeur ou dune fin de non recevoir de ma part. Sur les 3 sélectionnés P J et S), jallais écrire nominés, celui qui aurait pu tenir le rôle, au mieux pensais-je, cest désisté du fait davoir trouvé chaussure à son pied
.. à en croire les dieux de linfidélité ou de la fidélité mon plan devait tomber à leau
. mais je tenais à finaliser ces prises de contact avec les 2 restants, ne serraisse que par respect pour la démarche réalisée. Nous avons donc continué nos échanges par courriels et téléphone et puis la situation bien posée, la finalité définie, jai provoqué un rdv avec chacun dentre eux dans un endroit neutre afin de mieux faire connaissance et afin de parler entre 4 yeux et entre hommes.
Il est vrai que suite au désistement de P, ma solution de rechange était J(acques), du fait de son charisme, de son expérience au vu de son âge, de ses attentes dans ce type de relation (particulière dans la démarche) et son métier
dArchitecte
.. qui permettait de saffranchir facilement de la question Approche et Présentation. Il faut tenir compte quun mari qui cherche un Amant dun style directif voir dominant pour sa jeune épouse sans que celle-ci ne soit au courant de la démarche et que Monsieur ne souhaite ni participer, ni être présent lors des rencontres est plutôt rare à en croire les différents témoignages des postulants et de Jacques en particulier.
Durant tout ce temps, les projets de la maison avaient bien avancé aussi et nous en étions à trouver un Architecte qui puisse à la fois concrétiser sur le papier nos rêves, les chiffrer et mettre en uvre la réalisation des travaux et leurs suivi
. Tout un programme en somme. Je marrangeais pour que le choix de notre Architecte se porte sur Jacques et que le choix final soit du ressort dIngrid, ce qui se confirma. Jétais aux Anges et voyant la tournure que prenait les choses, et mimaginais lors de nos ébats, comment elle se serait comporté lors des ses aventure imaginaires ou pas et ce qui pourrait se passer avec Jacques, cet homme mûr de 48 ans, divorcé depuis de nombreuses année, ancien judoka de 1m92 à la musculature bien développée avec ses 100kg, aux cheveux poivre et sel et respectablement velu, aux yeux tirant sur le bleu clair, matcho dun caractère intransigeant et directif et par rapport à moi qui était tout de même content de dame nature qui mavais outillé de 16cm, lui avait comme il disait un « manche de pioche » entre les jambes, de plus de 21cm pour une largeur de presque 3 doigts, ce qui lui permettait de mettre au pli beaucoup de dames étant endurant.
Le premier rdv à son bureau, le Mardi à 17h (jour de la dernière visite de la maison), se déroula normalement par les présentations officielles et lexposé de notre projet, la conversation était chaleureuse constructive, dun point de vue purement professionnel malgré mon ressentiment pour la tenue dIngrid, qui navait pas voulu se mettre en robe ou jupe du fait du temps pluvieux et qui avait enfilé un pantalon noir avec un haut rose avec un pull léger et qui ne sétait pas maquillé disant que pour ce genre de rdv elle navait pas à se mettre plus en valeur que ça. Le rdv se prolongea assez tard et je proposais que nous dînions tous les 3 ensembles mais elle refusa sous je ne sait plus quel prétexte , rdv fut pris pour visiter la maison le surlendemain (jeudi) en fin AM toujours. Le projet avança rapidement, les travaux commencèrent, je me débrouillais le plus possible pour arriver en retard ou ne pas être là lors des visites de Jacques à la maison tout en donnant le change et idem pour lenvoyer passer à son bureau régler des factures ou discuter de lavancement des travaux, je lavais facile disant que cétait elle qui aller passer le plus de temps dans la maison et du coup il fallait quelle sy implique le plus possible et donne son avis, du fait de son emploi du temps cétait elle la plus libre et en fin que cétait ces parents, sa mère, qui avaient insisté pour participer aux dépenses.
Jacques commença à se rapprocher dIngrid, à mieux la cerner psychologiquement, à pouvoir ladmirer de plus prêt, à affiner son plan de bataille, à commencer à faire des allusions, tâter le terrain, commençant à lui faire la cour tout en me tenant informé de la finalité de ces rdv soit par un petit courriel, soit par tel voir de visu afin de commenter les réactions, discuter des projets pour elle dans le cas où
. Elle lui céderait.
Ce petit jeu dura plus de 5 mois, Jacques nétant pas trop entreprenant volontairement, moi marrangeant pour faire le maximum de missions et méloigner de la maison (12 jours pour la plus longue), mes beaux-parents sétant déplacé 2 fois quelques jours pour constater lavancement des travaux, belle-maman trouvant même que Jacques savait y faire et était très professionnel, passant à la maison contrôler et vérifier, pas ment que les travaux, (mais aussi la corbeille à linge, létendoir, notre chambre afin de mieux simprégner des modes vestimentaire et des évolutions de mon épouse), visite à limproviste la plupart du temps, Ingrid quant à elle nétant pas réceptive aux avances ou allusions de Jacques, ne men parlant pas dailleurs, refusant systématiquement toute invitation en soirée hormis quelques repas daffaire pris à midi, repas dont elle minformait me demandant la permission et mon avis.
Seul constat, lorsquelle devait voir Jacques en passant à son bureau, pour un repas ou pour ses contrôles elle était systématiquement en jupe ou robe et bien pomponnée, et nous avons constatait quelle sarrangeait toujours pour que se soit après ses journées de cours se changeant et se préparant pour ces sorties, mais vraiment rien de plus.
Jacques commençait à perdre un peu patience pensant à juste titre perdre son temps et moi de me dire que je métais fais des idées et que Mon Ingrid était une Perle Rare et quelle pouvait garder toute ma confiance. Jacques se donnait jusquà la fin du chantier pour voir si elle lui céderai en me confirmant dans ma conclusion que je métais trompé sur Ma Femme, ou du moins que le temps navait pas encore joué contre notre couple.
Les travaux touchaient à leur fin, plus que les finitions, nous étions fin Septembre, la rentrée des classes et toute sa logistique (chamboulement des emploi du temps) étant passé et je dû remplacer au pied levé un collègue célibataire- qui sétait cassé un genoux en descendant dun trottoir : Mission en Australie pour 5 Mois avec une coupure de 15 jours sur la période ou 3 Mois et demi consécutifs. Javais seulement la soirée pour y réfléchir et après une longue et houleuse discussion avec ma moitié, nous avons convenu quil serait plus facile que je mabsente pour le plus court laps de temps et que dans lavenir jévite dêtre volontaire pour ce genre de mission longue, trop longue.
Je partais donc le surlendemain, le cur lourd mais la tête légère, ayant eu une dernière conversation avec Jacques, tout en étant sûr de la fidélité de Mon Epouse.
Pendant la durée du voyage, je navais pas accès à mes courriels et je navais pu seulement téléphoner à la maison et parler
.. Quau répondeur.
Arrivé à bon port, étant bien accueilli et pris en charge par une équipe du service technique de la compagnie aérienne en charge des travaux, je minstallait à mon hôtel et commençait à macclimater, le travail étant prenant et contraignant nayant rien préparé à lavance et pour cause
.. Je pestais intérieurement et avait totalement ou presque oublié mon projet et mes doutes, comme quoi le travail
..
Jappelais ma Petite Femme presque tout les jours pour la consoler et lui dire tout mon Amour, à travers le répondeur aussi quelques fois, et cette routine dura deux semaines. Pendant tout ce temps je neu que très peu de nouvelles de Jacques, 4 courriels en tout et pour tout, le dernier le mardi minformant que les travaux de peintures intérieures et extérieures étaient repoussé et quil avait proposé à Ingrid une soirée pour marquer la fin de toutes ses tracasseries liées aux travaux et la fin prochaine de sa mission, elle navait pas répondu par la négative
ni par laffirmative. Jappelais le soir même avec le décalage horaire Toulouse, elle me parla de tout, même le fait que les voisins avaient changés de voiture mais pas de cette proposition de soirée, je mis cela sur le compte de la fatigue. Le lendemain soir, toujours avec le décalage horaire, je pris en compte un message de Jacques qui me confirmait quIngrid avez accepté pour le lendemain soir, c'est-à-dire le jeudi. Il me confirmait notre dernière conversation en me confirmant sa décision den rester là quil avait perdu assez de temps et narriverait à rien. Validant des modifications avec léquipe de nuit, vers 4 heures jappelais Ma Tendre Petite Femme, qui fut étonné de mon appel à cette heure me disant quelle était rentré en retard rien de grave, juste un accident sur la rocade et quelle allait se coucher, je lui fit répéter et elle me confirma quelle restait à la maison et allait se coucher dès que jaurais raccroché ou presque et elle me souhaita une bonne fin de journée de travail et moi linverse une Bonne Nuit
.. Jétais dun coup pris dun doute, je relus le dernier courriels de Jacques et refis deux fois le calcul du décalage horaire pour être certain de la date et du jour, cétait bien jeudi soir en France.
Je fis un courriel directement à Jacques lui demandant de bien vouloir me confirmer si la soirée était toujours dactualité
. Je neu pas de réponse dans limmédiat
. Partis au boulot
. Ayant du mal à me concentrer et étant irritable, appelant 4 fois à la maison, ce qui ne passa pas inaperçu chez mes collègues Australiens
. Qui mirent cela sur le compte de lorage de la nuit, la fin du décalage horaire et le fait que jétais sous pression du fait dun retard de 2 jours sur le planning au bout de 2 semaines
.
Je fus sorti de ma torpeur vers 15h passée, par un appel sur mon téléphone professionnel, en numéro caché
. Je décrochais et du attendre un petit instant et plusieurs ALLO ! ALLO ! de ma part
.
- Ne tinquiète plus, je sort de chez toi, je suis sur le trottoir
.
et puis un long silence encore, qui me parut une éternité et je ne disais rien, et :
- TU EST COCU DEPUIS 3 HEURES , JE VIENS DE LA BAISER PENDANT TOUT CE TEMPS, ET JAI LES COUILLES TOTALEMENT VIDE , Ingrid est allongée sur le dos en travers du lit dans la chambre damis du rdc, elle est exténuée et na presque pas bougée quand je lai couverte dun drap et lui ai dit que je partais, en lembrassant sur la poitrine.
Jessayais dengager un peu plus la conversation et en savoir un peu plus, afin de tout savoir
. Et le doute qui sinstalla et comme une chape de plomb sur mon esprit le monde autour de moi sécroulait.
Jacques sexcusa, me rappela quil était 6 heures du matin à Toulouse, quil était dans la rue, quil allez rentrer chez lui et quaprès une bonne douche et un sommeil réparateur, à tête reposée il allez me faire un compte rendu TRES TRES détaillé de la soirée et de la nuit, toute la nuit et il raccrochait.
ET mon esprit fut assaillit dune multitude de questions :
- ELLE lui avait cédé mais pourquoi maintenant,
- Que lui avait ELLE cédé,
- Avait ELLE était totalement passive,
- Comment cétait déroulé la soirée et où,
- Comment avait-il fait pour la posséder CHEZ NOUS dès la première fois,
- La chambre damis du rdc que nous venions juste de terminer avait été baptisée mais es-ce que seulement cette pièce de la maison avait été le témoin de leurs ébats ?
- Et pour les capotes, ELLE qui est anti-préservatifs du fait de vux de fidélité
. ?
Et une multitude dautres
..
Je ne fus plus bon à rien le reste de la journée, restant devant mon ordinateur et interrogeant mes courriels et licône Envoyer/Recevoir na jamais eu la visite de la souris aussi souvent
. Mes collègues Australiens me proposèrent et furent assez lourd dans leurs démarches pour vouloir absolument me sortir ce soir là et passer la soirée dans un PUB réputé, mais rien ny fit, je prétextais vouloir mavancer dans le travail et que jattendais des documents professionnel de Toulouse
.. et javais des érections à répétitions en essayant de mimaginer ces 3 heures
.
Ce nest quen début de soirée, que OUTLOOK mindiqua que javais un nouveau message
.. VOUS AVEZ UN MESSAGE !.
Je me précipitais et
cétait un message bref de quelques lignes de Ma Femme. Elle sexcusait de la façon dont elle mavait parlé la veille au soir, quelle nétait pas bien, quelle avait passé une très mauvaise nuit
.très agité (Mais OUI cest ça
.. à te faire baiser par une grosse bite
.. dans une multitude de position ça à du être un vrai calvaire) et quelle pensait rester au lit toute la journée, étant nauséeuse et aillant mal à la tête (Mais OUI, cest ça
.. cest plutôt ta petite chatte qui à eue la visite dun manche de pioche et cest fait pistonner pendant 3 heures et ton corps frêle à dut supporter les 100 kg de Jacques tu doit être meurtri de partout Ma Chérie
) et quelle allait débrancher les téléphone pour ne pas être dérangée
..(Des remords ? besoin de réfléchir et de faire le point ? ou doit-IL repasser ?). Et un laïus sur son Amour pour moi et sa Fidélité (OUI, le chat nest pas là et la petite OIE BLANCHE se fait gaver
).
Je ne répondais pas à ce courriel, du moins pas encore
. Javais besoin de me ressaisir. Et si javais ouvert la boîte de Pandore ? êtes-ce sa première infidélité ? Allez telle continuer à me cocufier ? Pendant combien de temps et avec qui ? Allez telle vouloir rester avec Jacques ? cela vaudrait mieux si je voulais continuer à gérer la situation , ou du moins le croire, et si je voulais être informé de ses faits et gestes.
Il me fallait celui de Jacques
. Qui arriva bien plus tard
javais eu le temps de rentrer à mon hôtel me doucher, me changer, prendre une petite collation qui avait du mal à passer et qui me resta sur lestomac jusquau soir et revenir sur le site de maintenance sur laéroport.
VOUS AVEZ UN MESSAGE ! apparut une fois que mon mot de passe fut saisi, et jouvrai ma boîte aux lettres
ce que jattendais avec impatience. Je commençais à peine à le lire que je fus dérangé et quil me fallut me rendre sur avion et plus de 2 heures après jétais de retour dans mon bureau.
VOUS AVEZ UN MESSAGE ! était de nouveau affiché
. Un second courriel de Jacques !
Je lisait donc celui-ci en premier, dans la précipitation, où il me demandait si je ne regrettais pas les évènements, quel effet cela me faisait, quel était mon état desprit et quil avait fait envoyer un très jolie bouquet de fleur chez moi, pour remercier Ma Femme avec un petit mot doux et quil avait essayé de la joindre au tél mais en vain, donc il partait la voir, pour juger de la situation et des dégâts
. Mais de quand datait ce message
.. plus de 90 minutes
. donc IL était passé voir ma Tendre il y a environ 1 heure
. !!! Etait-ELLE à la maison ? Lui avait-ELLE ouvert ? Y était-IL encore et que faisaient ils ?
Je me plongeais dans le compte rendu de la soirée et de LA NUIT, que voici :
« Comme tu le souhaitais, et comme tu te doutais que cela tarriverai un jour, je te confirme que TU AS BIEN ETE COCUFIE CETTE NUIT, séance de jambe en lair dont Ingrid se souviendra pour toujours et dont je garde et garderai un très bon souvenir moi aussi.
Je suis passé la chercher chez vous, comme convenu ou plutôt imposé par moi, à 19h15 et je suis arrivé peu de temps après que tu ai appelé, daprès ce que jai compris, puisquelle a évoqué ton coup de fil. Je lai interrogée sur le fait de savoir si tu étais au courant pour cette soirée, elle me répondit vaguement que OUI. Elle était coquette dans sa petite robe bleu nuit à bretelles, qui lui descend juste au dessus des genoux, avec un châle blanc cassé sur le haut des épaules, étant passé chez le coiffeur peut de temps avant je pense et maquillé avec soin, avec ses yeux de biches, le tout avec ses petits escarpins noirs au talons de moins de 4cm, ah
. et aussi des collant gris fumé.
Javais réservé une table sur le bord de Garonne, à
où jai certaines habitudes, (extérieur de Toulouse) et nous y sommes arrivé légèrement avant 20h. A toi de tarranger avec le décalage horaire. Elle a très peu parlé pendant le trajet, juste quelques OUI, NON, JE NE SAIS PAIS, moi nayant pas répondu à sa question de savoir ou je lemmenais
. Restant stricte dans la voiture, son sac à main posé sur ses genoux et ses mains croisée dessus, elle jouait avec son alliance par moment.
Elle paraissait soucieuse, énervée car ne tenant pas en place dans son fauteuil lorsque nous prenions lapéritif, choses qui se sont un peu calmé lors du repas, bon ou nous avons parlé de tout et de rien, de ELLE
un peu de moi, et ou jai essayé quelques jeux de pieds, aux quels elle na pas répondu, ne sait pas dérobée non plus, et ny a pas fait allusion
.
Nous sommes repartis de là, vers 23h25 après lui avoir proposé daller dans un club, en tout bien tout honneur, pour prendre le dernier verre et danser un peu, puisque (je le savais déjà) elle aime bien danser mais pas toi et quen de rares occasions (4 fois ma-t-elle dit sur les 2 dernières années) elle avait été en boîte avec une copine (prof comme elle, mais plus âgée).
Nous sommes donc revenu sur Toulouse, son sac à main posé cette fois ci sur le tapis de sol à gauche contre le montant et elle genoux serré les bras croisés , jai dus tourner un petit moment avant de trouver une place où me garer et après une petite marche ou je lui remis son châle sur les épaules et lui passait la main dans le dos nous sommes arrivés au
., il était plus de minuit.
On nous a placé à une table - javais prévenu la Patronne avant de sonner chez toi
Nous avons continué notre discussion sur elle, sur Toulouse qui la change de sa région Centre, sur la danse tout en buvant du champagne et puis nous avons dansé ou du moins jai insisté pour que nous allions sur la piste ou déjà une quinzaine de couple dansaient le rock.
Suivant la série Rock (3 morceaux), la lumière se tamisa et une série de slow fut lancée (4 morceaux toutes les heures, cest une règle dans cet établissement) et alors quIngrid repartais sasseoir jai essayé de la retenir par la main mais elle se dérobât et couru presque jusquà son fauteuil doù elle me regarda arriver avec un regard taquin et un petite sourire enjôleur, je savais à ce moment précis que jétais proche du but, quil ne manquais quun petit quelque chose pour faire pencher la balance dun côté
ou de lautre , mais comme je te lavais annoncé il fallait que se soit ce soir sinon rien.
Nous reprîmes notre conversation, elle se trémoussait sur sa chaise, et à la fin des slow elle sexcusa et sa leva, se dirigea vers le bar demanda quelque chose et puis revins vers notre table en se dirigeant vers les toilettes, je lai apostrophé en lattrapant aux passage par le poignet en lui disant à loreille :
- Madame F., il serait judicieux si vous souhaitez continuer à danser le Rock, à aller dans cet endroit, den profiter pour ôter votre collant, vous serez sûrement plus à laise et aurez moins chaud.
Elle eu un petit recul, moi lui lâchant le poignet elle se pencha sur moi, me gratifiant dune vue sublime sur léchancrure de sa robe et son SG blanc bien rempli, et me répondit de la même manière :
- Comment savez-vous que cest un collant
.. ? Ce pourrait très bien être
..
Et moi de larrêter et de répondre que je le savais
.
Elle repris son chemin au travers des tables, ne se retournant pas, mais je savais que si elle revenais jambes nu, tu serais cocu avant le levé du soleil sur Toulouse.
Je fixais donc le couloir légèrement éclairé où Ingrid avait disparu et là-dessus la Patronne vint me voir, ne layant salué que de loin lors de notre arrivée. Nous parlâmes de la soirée et dancienne rencontre faite en ce lieu et elle me traita de gougea ne lui ayant pas présenté Ma jeune conquête et je lui répondis que rien nétait fais encore, mais jallais être fixé à son retour des toilettes
. Avec un petit sourire quelle me rendit par un clin dil avec une légère tape sur lépaule en repartant
.. Ingrid était juste là, déjà à la hauteur de la table voisine et avec la pénombre je ne voyais rien. Nous avons continuais à discuter, nos mains se frôlant et se touchant, et jessayé avec désespoir de voir si
.. Elle sen aperçu et avec le même regard que lors de sa fuite elle me dit :
- vous essayez de savoir SI
.
Je répondais avec les yeux et elle de rajouter :
- et bien vous serez fixé à la prochaine série de Rock, sil y en a
et une nouvelle série de
. Slow arriva
je lai prise par la main fermement tout en me levant et lentraînait directement et prestement sur la piste. Là avec doigté je mapprochais delle, une main sur son épaule, lautre au bas du dos et en commençant un slow langoureux je lui dit :
- Ce nest pas une série de Rock, mais je suis fixé. Et puis cette tenue vous va à ravir pour des Slows et la chaleur que dégagent nos corps.
Elle na pas répondu et a baissé les yeux. Le premier slows se déroula ainsi, au second ayant un début dérection, je lai collé plus prêt de moi avec ma main descendu sur le haut de son postérieur et elle pouvait sentir ma queue relativement haut sur son ventre. Elle a essayé de résister un instant, sans rien dire, ni lever la tête, moi devenant plus insistant en empoignant son petit cul à deux mains. Il va falloir quELLE apprenne que lon ne joue pas avec moi, que cest moi qui dicte les règles du jeu et que je nautorise aucun écart.
Là-dessus elle sest blottie tout contre moi et ma queue bien bandée, je suis devenu moins ferme sur ses fesses et lui flattait la croupe de ma main gauche
.. Cest à partir de ce moment que tu peux considérer être devenu cocu, je nai pas pris la peine de regarder lheure, la série de slow à continué un moment plus long que dhabitude
.. Ingrid collé à moi, les yeux clos voir mi-clos se massant le ventre sur ma bite
.
Une nouvelle série de Rock à commencé, nous surprenant, restant figé sur la piste et en lui soulevant le menton je lui ai demandé si elle voulais que je la ramène (première fois ou je lai tutoyée) et elle na pas répondu par des mots mais en clignant des yeux. Nous sommes repassé par notre table, afin quelle récupère son sac à main, nous nous sommes dirigé vers la sortie elle collé à moi son bras gauche autour de ma taille moi ma main droite sur sa fesse droite et pendant quelle récupérait son châle et que le portier le lui remettait sur les épaules, la Patronne cest approché de nous, et tout en me glissant quelque chose dans le poche gauche de ma veste et me faisant un clin dil, elle nous souhaita une Bonne Nuit pas trop mouvementée.
Nous avons regagné ma voiture, Ingrid de nouveau collé à moi son bras gauche entourant ma taille et tenant son sac, sa main droite me caressant le torse moi de même de ma main droite sur ces fesses essayant de deviner laquelle de ses petite culottes jallais faire tomber un peu plus tard. Passant devant un recoin sombre, là où la rue
se rétrécit, je lai plaquée contre le mur, dans lombre, lui tenant les main écartée du corps avec les miennes et jai cherché sa langue pour un baiser plein de fougue. Jai du insister avec ma langue pour forcer le passage, tout en lui écartant les jambes avec mon genoux gauche pour commencer un massage de sa motte avec celui-ci au travers de mon pantalon, du peu de tissu de sa robe et de sa culotte. Elle me donnait maintenant sa bouche, avec de petit râle, et je jouais avec sa langue et ses lèvres à les aspirer et mordiller. Je lui lâchais les mains, pour libérer les miennes et les occuper ailleurs
. sur sa nuque, ses cheveux, ses hanches
. Et alors que jempoignais sa poitrine avec mes deux mains, lui laissant reprendre son souffle, mon genoux toujours actif entre ses cuisses et qui avez déjà bien remonté sa robe, elle se ravisa me disant NON, NON pas ICI, pas ICI et tirant sur sa robe pour se réajuster et se donner une apparence convenable
je reprenais prestement sa bouche, la clouant contre le mur dun coup de rein et passant mes deux genoux entre ses jambes, elle pouvait ainsi bien sentir mon érection et il ne fallut quun bref instant pour que ses deux mains soient sur mes fesses, laissant tomber son sac, et suivent les mouvements de mon bassin, pendant environ une petite dizaines de minutes. Une voiture cest engagée dans la rue, nous éclairant un bref instant, Ingrid cest vite dégagée de mon emprise se baissant pour ramasser son sac, et en se relevant essayant de remettre en ordre sa robe qui était troussé jusquà la lisière de sa motte, et moi en profitant pour lui dénuder complètement les fesses en tirant sur sa culotte en sens inverse et dune tape ferme sur son petit cul la fit avancer ainsi jusquà ma voiture, il ne restait quà peine 5 ou 6 mètres. Dommage que je nai pas eu un appareil photo à ce moment là, tu aurais du voir sa tête et son regard interrogateur, perdu, quelle faisait en avançant ainsi légèrement courbée en avant, tenant son sac à 2 mains devant elle, sa jupe même pas à mi-cuisses sur le devant, sur les reins à larrière et sa culotte rabaissé sous ses fesses, ça promettais bien pour la suite de la Nuit et je ne suis pas trompé.
Jouvrais la voiture et montait de mon côté en premier, lui laissant à peine le temps de se remettre en ordre se couvrir les fesses en remontant sa culotte et elle était assise, son sac à terre un pied de chaque côté , jen ai profité pour me pencher sur elle, déposant ma main sur son genoux droit et progressant très vite tout en essayant de lembrasser de nouveau. Elle eu un réflexe et serrais les genoux, emprisonnant ma main A mon regard, quelle compris réprobateur et la pression de ma main pour desserrer létau de ses cuisses, elle souvrit delle-même et me gratifia dun baiser baveux à pleine bouche, alors que ma main gauche était déjà en contact avec le tissus de sa petite culotte et constatait les dégâts des eaux
.au travers du tissus. Jai joué avec lélastique de laine pendant un petit moment passant un doigt le ressortant, ainsi de suite, elle poussait de petit râle étouffés par nos bouches et nos langues mêlés tout en projetant son bassin en avant dans une invite à passer la frontière. Jarrêtais tout et en redémarrant la voiture de la main droite, lui disait :
- Si tu voulais te faire doigter la chatte, il fallait enlever se rempart !
Chose quelle commença à exécuter en soulevant ses fesses du cuir du siège et en agrippant sa culotte par les côtés, tout en regardant vers lextérieur voir sil ny avait personne probablement. Je lai arrêté quand elle venait juste de passer les genoux lui disant :
- Allez ça suffit, tu laisse ta culotte comme ça, en gardant tes genoux bien écarté pour ne pas la laisser tomber et tu remets ta robe en place, tu ne va pas montrer ta chatte à toute la ville
.
Et tout en disant cela et la regardant droit dans les yeux je lui ai planté mon majeur dans sa grotte, qui était plus quhumide et chaude lui tirant un OHHHH de surprise et de plaisir, et de rajouter en le ressortant après 3 ou 4 va et vient :
- Comme ça tu éviteras de faire lescargot sur mes sièges aussi.
Passant mon doigt sous mon nez pour humer son odeur je commentais:
- Ces effluves ouvrent lappétit et côté goût ?
en lapprochant de sa bouche , elle à compris de suite et la sucé à pleine bouche avec délectation, enroulant sa langue.
Mon doigt bien nettoyé, jai démarré et pris la route de chez Toi, de chez Vous. Ingrid regardait à lextérieur, ne sachant vraiment pas quoi faire de ses mains, un coup croisés sur son bas ventre, lautre coup retenant sa culotte dans les virages, se tenant à la poignée, elle essayé tout de même en me regardant du coin de lil de faire passer sa culotte au dessus de ses genoux et ainsi essayer de la cacher sous sa robe. Arrivé au premier feux des allées
. Une voiture était arrêté à côté de nous, jai retiré sa culotte à sa position initiale sous ses genoux, lui disant de juste la maintenir en place avec ses genoux puisquelle écartait bien les cuisses il à quelques instant, elle devrait sans difficultés arriver à la maintenir ainsi, et lui demandait de tenir la poignée avec sa main gauche et de passer son bras droit derrière mon siège, pour ne plus y toucher sinon jallumais le plafonnier. Nous sommes vite arrivé devant la maison, je me suis garé dans la rue à la limite du terrain avec le voisin aux volet jaune, le portail étant fermé. Il était 2h38.
Me tournant vers ta Fidèle Epouse et passant ma main sous sa robe, marrêtant au contact de ses poils, ELLE ayant encore un léger réflexe mais se reprenant pour ne pas laisser glisser son bout de tissu, je lui demandais :
- Alors Madame Ingrid F., que veux tu faire ?
Un silence, pas de réponse et elle na pas bougée.
- je tais ramené
nous en restons là ou tu veux vraiment cocufier ton mari ?
Pas de réponse en tournant sa tête vers moi. Je lui ai replanté mon majeur bien profond, lui arrachant de nouveau un OHHHH tout en se mordant les lèvres.
- Je ne sais pas, je ne suis pas prête
.. me dit-elle.
Et jen ai profité pour une dernière pique assassine, je nallais pas abandonner à ce moment là, il fallait bien que je me paye de toutes ses attentes. Je lui plantais un deuxième doigt et commençait un massage du clito avec mon pouce.
- Ta petite chatte crie famine, elle en a plus que la bave aux lèvres
.. et mes deux doigts ne vont certainement pas la rassasier.
Les yeux fermés, haletante, descendu sur le siège, projetant en avant son bas ventre à la rencontre de mes doigts, la robe remontée sous le nombril, sa culotte tendu toujours aux niveau de ses genoux largement écarté à 10h10, un bruit de mouille indiquant le ravage de mes doigts dans sa chatte et alors que jaccélérais le rythme :
- OUI, OUI, je te veux, je veux que tu me fasses JOUIR.
- Tu es sûre ? dit le moi encore ? et ton Mari, tu penses à ton Mari ?
- OUI, JE SUIS SURE. JE VEUX QUE TU ME BAISSES
.. JE VEUX JOUIR, JE VEUX JOUIR
- Et ton Mari ?
- IL AVAIT QUA ETRE LA, CEST DE SA FAUTE SI JE LE FAIS COCU CE SOIR.
- fin 1er épisode -
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